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1 personne sur 4 considérerait son chat comme son propre enfant, et cela n’est pas sans conséquence

Les résultats d’une étude néerlandaise sont tombés : pour la moitié des gens, les chats sont des membres de la famille à part entière. Et plus encore, pour 1 quart de l’échantillon interrogé, il est le bébé de la maison.

Illustration : "1 personne sur 4 considérerait son chat comme son propre enfant, et cela n’est pas sans conséquence"

Depuis l’Antiquité et peut-être même avant, les chats ont été domestiqués pour s’adapter à la vie en intérieur. Ils sont devenus de véritables animaux de compagnie et chaque famille à sa propre façon de les considérer.

Des chercheurs aux Pays-Bas se sont penchés sur la perception qu’ont les foyers vis-à-vis de leur félin, ainsi que ce qu’il représente pour eux. Ils ont aussi observé les conséquences liées aux différents comportements des propriétaires. Les résultats de l’investigation ont été publiés dans la revue International Journal of Environmental Research and Public Health.

Illustration de l'article : 1 personne sur 4 considérerait son chat comme son propre enfant, et cela n’est pas sans conséquence

photo d’illustration

« Membre de la famille, meilleur ami, enfant ou "simple" animal de compagnie ? »

Les expérimentateurs se sont chargés de recruter 1800 propriétaires de chats afin de les soumettre à des questionnaires. Après l’analyse des résultats, ils ont révélé que 52 % des participants considèrent leur boule de poils comme un membre de leur famille, 14 % comme un animal de compagnie et 7 % comme un ami. Les 27 % restants voient leur chat comme un enfant.

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Des conséquences sur les besoins des animaux

Ces 2 derniers pourcentages ne sont pas sans importance. En réalité, les experts sont allés plus loin et ont démontré que ces maîtres avaient tendance à surprotéger leurs félins, comme ils pourraient le faire avec leur progéniture ou leurs amis.

Ainsi, beaucoup compromettent leur liberté, en restreignant leurs sorties par exemple. Cette relation peut devenir problématique pour le bon développement des bêtes : « Bien qu'un certain degré d'anthropomorphisme soit nécessaire pour créer une connexion avec un animal, les propriétaires doivent être conscients que les chats vivent le monde différemment des humains et ont des besoins différents », écrivaient les chercheurs.

D’après leurs conclusions, il faudrait être capable de trouver un juste-milieu. Certes, il est important de donner de l'affection et des soins à nos moustachus, mais il faut surtout respecter leur espèce, qui a ses propres caractéristiques.