Un chat abandonné dans une ruelle avec ses affaires rêve secrètement d'un nouveau foyer

Leo aura droit à un nouveau départ dans la vie après avoir vécu l’abandon. Ce chat a, en effet, été recueilli par une association de protection animale qui le soigne et s’emploi à lui trouver une nouvelle maison, rapportait le Daily Record.

Un habitant de Falkirk, en Ecosse, a découvert ce félin dans l’une des ruelles de la ville. Le quadrupède se trouvait dans sa caisse de transport avec sa nourriture, ses jouets dont une pieuvre en peluche, ainsi que ses vêtements. Prévenue, la SPCA écossaise a envoyé une équipe pour le prendre en charge.

Les bénévoles qui ont recueilli Leo pensent que son maître passait par une période difficile sur le plan financier et n’avait plus les moyens de subvenir aux besoins de l’animal. Le chat était en bonne santé et toiletté, suggérant qu’il vivait dans un foyer aimant.

Scottish SPCA / Facebook

« Leo était parfaitement toiletté, en bonne condition physique et semblait avoir été bien soigné », indiquait, en effet, l’association écossaise de protection animale sur sa page Facebook.

« En raison des circonstances dans lesquelles nous l'avons trouvé, nous pensons qu'il a été laissé là par un propriétaire qui avait du mal à continuer de s’occuper de lui, poursuit l’auteur de la publication. Leo a été emmené à notre centre du Lanarkshire où il a été castré et identifié par puce électronique. »

Surmonter le traumatisme et commencer une nouvelle vie

L’équipe était mobilisée pour réconforter Leo et l’aider à rebondir après cette expérience traumatisante. Les bénévoles s’efforcent de lui trouver une famille d’accueil ou, idéalement, adoptive.

La Scottish SPCA a également lancé un appel aux dons pour l’aider à secourir d’autres animaux en détresse, comme Leo. « La SPCA écossaise ne reçoit aucun financement gouvernemental, souligne l’association. Nous effectuons donc tout ce travail vital grâce aux contributions de nos merveilleux donateurs. Cette demande accrue de nos services survient à un moment où les gens ont moins de revenus disponibles à donner à des œuvres caritatives et où nos propres coûts augmentent. »