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L'histoire touchante d'un retraité qui consacre sa pension au bien-être de son chien handicapé

Alan Pritchard ne touche pas une retraite luxueuse, mais cela ne l’empêche pas de placer le bonheur de son chien Kane au sommet de ses priorités. Il l’a non seulement sauvé de l’euthanasie, mais fait en plus d’énormes sacrifices pour qu’il puisse recevoir les meilleurs traitements.

Illustration : "L'histoire touchante d'un retraité qui consacre sa pension au bien-être de son chien handicapé"

Alan Pritchard habite Pembroke Dock dans le sud du pays de Galles. Malgré sa maigre pension de retraite, ce sexagénaire dépense des centaines d’euros tous les mois pour faire soigner son chien Kane. Un récit rapporté par le Mirror.

Ce dernier est un Berger Allemand atteint de paralysie et amputé d’une patte. Par le passé, Kane vivait dans une ferme où il était gardé attaché en permanence. Son propriétaire d’alors est décédé et la femme de ce dernier avait été placée en maison de retraite. Le chien avait ainsi atterri au refuge de l’association German Shepherd Rescue Elite.

Kane est atteint d’embolie fibrocartilagineuse de la moelle épinière, à l’origine de la paralysie de ses pattes arrière. On avait suggéré à Alan Pritchard de le faire euthanasier, mais celui-ci a catégoriquement refusé. Il était hors de question pour lui de ne pas lui donner une chance.

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Alan Pritchard

Alan Pritchard a trouvé un groupe Facebook sur le thème de l’embolie fibrocartilagineuse où on lui a conseillé l’hydrothérapie et l’acupuncture. Kane a pu commencer les séances, mais il s’est cassé l’ergot et ne pouvait pas poursuivre ces exercices durant les 11 mois suivants.

La lésion ne guérissait pas. Il a donc été décidé de l’amputer de l’une de ses pattes arrière. Entretemps, le Berger Allemand a reçu des massages, puis bénéficié des soins d’une chiropractrice.

« Il a retrouvé une seconde jeunesse »

Grâce à cette dernière, de nettes améliorations ont pu être constatées. « Lorsqu'elle a réaligné ses vertèbres, il a retrouvé une seconde jeunesse », explique, en effet, son maître.

Entre physiothérapie, hydrothérapie et massages, Alan Pritchard débourse mensuellement 500 livres, soit 580 euros.

« Ma pension lui revient, dit-il. Nous lui avons acheté les meilleures roues que nous avons pu trouver. »

Pour cet homme au grand cœur, le bien-être de son compagnon n’a pas de prix.